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  A Propos

Jean François Richard Atelier Coloressence Saint Martin la Plaine 42

Je m’appelle Jean-François Richard et je pratique l’art-thérapie et l’analyse à Saint-Martin-la-Plaine, près de Lyon.

Comment suis-je arrivé à cette profession d’art thérapeute analyste  ?

Parce que, moi aussi, j’ai du régler des questions.

 

Enfant sage et bon élève jusqu’en CM2, le passage au collège a entraîné de forts bouleversements.

Il s’est alors installé en moi un sentiment de révolte de plus en plus marqué face à l’injustice et un désinvestissement progressif du travail scolaire.

Tout ceci a amené des rapports de plus en plus conflictuels à la maison.

À 15 ans j’attaque une  période Punk et ma révolte atteint  son paroxysme, et entraîne des conduites et des répercussions de plus en plus négatives au niveau relationnel, familial et scolaire.

Grâce à la rigidité de la structure familiale (cause des premières révoltes) je n’ai pas pu quitter le milieu scolaire et j’ai obtenu un bac économique et social.

Puis, je suis entré aux Beaux-Arts pour une période de cinq ans où j’ai pu mettre une expression artistique sur mes doutes, mes colères, et mes révoltes.

C’est à cette période, à 22 ans, que j’ai eu la chance de vivre une expérience très particulière.

Pendant quelques jours, j’ai pris conscience, de manière très forte, de l’évanescence de ce monde, et que nous allions mourir.

Ce fut un moment très douloureux, mais qui m’a permis d’enclencher une profonde quête du sens de l’existence. J’ai recherché ainsi des réponses à travers la philosophie et les religions.

La découverte du Zazen

Puis un jour, j’ai trouvé un ouvrage intitulé «Question un maître zen» de maître Deshimaru.

Ce fut un choc énorme : enfin un enseignement qui raisonnait en moi.

Il y avait à la fin de l’ouvrage une explication de la posture de méditation bouddhiste zen. J’ai commencé à méditer (j’avais 24 ans).
J’ai progressivement intégré un dojo de méditation zen, puis en 1999, j’ai créé, avec ma compagne, le groupe Zen de Saint-Etienne. En 2006, j’ai participé à la création du Dojo Zen de Saint-Étienne.

Grâce à la méditation zen (nommé Zazen) j’ai pu trouver un équilibre intérieur, un équilibre.

Parallèlement depuis 1998, je travaillais dans un centre social en tant que co-responsable des actions jeunesses, puis très rapidement, responsable des actions culturelles.

J’ai développé une réflexion entre la création artistique et les relations sociales.

Malgré l’apaisement que m’apportait la méditation et une direction professionnelle satisfaisante, il me manquait quelqu’un, quelque chose.

Je sentais bien que dans mes relations au quotidien, familiales ou professionnelles, des choses en moi dysfonctionnaient.

Toutes ces difficultés m’ont  véritablement permis de me questionner sur la dimension psychologique de l’être humain et son rapport à la dimension spirituelle.

L’art thérapie analytique

C’est pour cela, tout naturellement, que je me suis formé en 2008 en art-thérapie (à l’Atelier vert lumière, avec Gérald Quitaud).

Cela me semblait être le lien adéquat entre la création, la dimension sociale et relationnelle, et la dimension psycho-existentielle.

Cette formation achevée, j’ai ouvert mon atelier d’art-thérapie à Saint Martin la Plaine près de Lyon, en 2010, où je peux exprimer, à la fois, la dimension créative et la dimension individuelle et psychologique.

Je vous aide ainsi à vous questionner sur la direction que vous voulez donner à votre existence.

en 2021, est sorti mon premier livre : la sagesse bienheureuse